2004 - Voyage au Sahara

Grens

A pied, à dos de dromadaire, en voiture, à la rencontre de lumières, de couleurs, de signes, dans cette immensité où la vie est toujours présente, sous une pierre, dans le sable, à l’horizon... 

Mais c’est surtout grâce à ce grand nomade qu’est Théodore Monod que j’ai découvert cette immensité dont il disait : 

« dans le désert on marche souvent droit, car il n’y a rien à contourner » 
« au désert on ne décide pas, on obtempère » 
« le désert appartient à ces paysages capables de faire naître en nous certaines interrogations » 

Merci à ceux qui m’ont guidé aux déserts : Memet, Ali, Moïse, Mohamed, Christophe, François et les autres… 

Bernard Boujol
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